Le gouvernement a dû adapter la réglementation de la circulation des navires et engins immatriculés et de certaines activités nautiques et subaquatiques aux abords du littoral de la commune de Nouméa.
Le gouvernement a dû adapter la réglementation de la circulation des navires et engins immatriculés et de certaines activités nautiques et subaquatiques aux abords du littoral de la commune de Nouméa.
Une décision qui fait suite à la refonte en septembre 2024, par la ville de Nouméa, du plan de balisage et de la définition des zones réglementées sur sa commune. En raison de compétences partagées, et pour des raisons de sécurité, l’exécutif a donc dû aménager les mesures de police de la circulation maritime sur ce littoral, en complétant celles déjà prises par la mairie.
L’objectif : sécuriser la baignade et les différentes activités nautiques pratiquées sur les sites concernés. La navigation et le mouillage des navires et engins immatriculés sont désormais interdits dans les zones réservées uniquement à la baignade, comme dans les zones réservées uniquement à la baignade, et sécurisées, ainsi que dans les zones interdites aux engins motorisés. Le mouillage et les activités subaquatiques sportives et de loisirs sont interdits dans les chenaux traversiers. Les zones réservées à la pratique du ski nautique et de ses dérivés sont réglementées. Des dérogations sont prévues pour fluidifier certaines activités nautiques commerciales et associatives. Enfin, cette réglementation crée une zone réservée aux activités nautiques sportives ou récréatives entre l’île aux Canards, et la plage de l’Anse-Vata ; cet espace sera interdit aux navires et autres engins immatriculés, afin de mettre fin aux conflits d’usage récurrents, voire aux accidents, entre les bateaux et les véliplanchistes – entre autres.