Dans une Arène du Sud pas loin d’être comble, dimanche en début de soirée, les joueurs de l’ASPTT ont battu les Salomonais du FC Mataks, 4 buts à 3 en finale de la Ligue des champions.
A jamais les premiers. La formule, popularisée par les supporters marseillais depuis la victoire européenne de leur équipe en mai 1993, avait été reprise en mai 2019 sur le Caillou, lorsque Hienghène avait remporté la Ligue des champions, 1-0 en finale contre Magenta, à Nouméa, dans un stade Numa-Daly débordant de monde. Sept mois plus tard, l’ASPTT jouait elle aussi une finale régionale, et avait à son tour l’occasion de marquer l’Histoire de son sport, le futsal. Malheureusement, elle avait perdu en finale, 7-3 contre une formation salomonaise (Kooline).
Aucune défaite
Cinq ans plus tard, pour la 2e édition de la Ligue des champions, l’ASPTT n’a cette fois pas laissé passer l’opportunité d’être sacrée. Après un parcours solide durant la phase de poule de mardi à samedi, avec trois victoires (11-2 contre les Tongiens de Veitongo, 7-2 devant les Vanuatais de l’UNV, 5-2 contre les Fidjiens de Suva) et un nul (1-1 face aux Salomonais de Mataks), les Calédoniens avaient rendez-vous, dimanche à partir de 18 h, avec cette même équipe du FC Mataks, cette fois avec le titre en jeu.
Ce contenu est réservé aux abonnés.
Connectez vous pour y accéder !
Anthony Fillet