« Ce qui m’a quand même choqué, c’est qu’il est allé jusqu’au bout », a témoigné la victime à la barre du tribunal correctionnel de Nouméa.
Boulouparis, un jeudi. « J’étais chez moi, tranquille. » Il était environ 14 h 30 quand « j’ai entendu les chiens des voisins aboyer », signalant une présence. Un chat ? Non, un jeune homme du quartier. Il se cache en attendant que les surveillants baissent d’un ton, puis passe par-dessus le grillage (l’abîmant au passage) de la propriété de madame, chez laquelle il n’y a « pas de chien ». Il frappe à la porte d’entrée. À travers une fenêtre, « je vois qu’il se masturbe… » Elle lui demande la raison de sa présence, utilise une autre sortie, fait le tour pour le rejoindre, toujours à l’extérieur. Elle voit cette fois-ci son action en gros plan. « J’étais sous le choc ! », raconte-t-elle à l’audience.
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Anthony Fillet