La justice a confirmé la décision du directeur du Centre national des activités privées de sécurité (Cnaps) de retirer l’agrément d’un dirigeant d’entreprise de sécurité privée pour des manquements au Code de la sécurité intérieure.
Grand ménage dans la sécurité privée. Le tribunal administratif de Nouvelle-Calédonie a donné raison au directeur du Centre national des activités privées de sécurité (Cnaps) qui avait décidé, en mars 2024, de sanctionner lourdement le dirigeant d’une entreprise de sécurité privée en lui retirant son agrément. Ce dernier avait obtenu, en mai 2020, une autorisation d’exercer « des activités de surveillance humaine » pour une durée de cinq ans, délivrée par les autorités. Il a donc saisi la justice pour tenter de faire annuler la décision du Cnaps. En vain.
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Jean-Alexis Gallien-Lamarche