Le club de l’Olympique, tête d’affiche du touch rugby en Nouvelle-Calédonie, effectue un déplacement en Thaïlande afin de participer, ce week-end, à un tournoi international.
Il y a évidemment le rugby à XV et le rugby à VII, les deux disciplines phares lorsque l’on parle de ballon ovale. Il y a aussi, sur le territoire, du rugby à X et du rugby à XIII. Mais, depuis quelques années maintenant, une autre variante a fait son apparition avec le « touch ». Et à l’image du rugby à XIII, ce sport a sa propre fédération. « Le touch est un des seuls sports collectifs mixtes. C’est un sport qui peut être pratiqué par tous. C’est la forme de rugby la plus pratiquée en Australie et en Nouvelle-Zélande, où siège la Fédération internationale. Il est maintenant présent en Afrique, en Asie, en Europe et aux États-Unis », explique la Fédération française sur son site internet. Et de poursuivre : « Le touch privilégie le jeu d’équipe faisant appel à des qualités de techniques individuelles et collectives, de rapidité, d’agilité. C’est un jeu d’évitement, sans plaquage, mêlée, regroupement, ni jeu au pied. » En revanche, certaines règles demeurent alors que l’objectif est de marquer des essais, en multipliant les passes… vers l’arrière.
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Claire Gaveau