Aide médicale : la province Sud pourrait être confortée par le tribunal administratif

Après les émeutes, l’assemblée de province Sud avait modifié les règles de l’aide médicale gratuite. Sous l’impulsion du parti MNIS, trente-trois bénéficiaires ont réclamé l’annulation de cette réforme devant la justice.

Les juges pourraient donner raison à la province Sud pour la seconde fois. Sous l’impulsion du parti politique indépendantiste MNIS (Mouvement nationaliste, indépendantiste et souverainiste), trente-trois personnes ont contesté devant le tribunal administratif la réforme de l’aide médicale gratuite qui serait une « entorse » à la Constitution française.

Ce contenu est réservé aux abonnés.

Connectez vous pour y accéder !

Jean-Alexis Gallien-Lamarche

Fil d'actualité

Christian Tein et les militants de la CCAT libérés

Le leader de la CCAT et quatre autres militants...

Maison cambriolée à Nouméa

Lors d’un week-end d’absence, un habitant du quartier de...

Trafic d’alcool : une distillerie clandestine découverte par la police

Il produisait dans le plus grand secret du rhum...

Rencontre avec… Marjorie Ghizoli

Six mois après sa prise de poste, le contrôleur...

Au contact des riverains

« Dans le cadre de la lutte contre les...

Newsletter

Inscrivez vous pour recevoir chaque semaine notre newsletter dans votre boîte de réception.

Christian Tein et les militants de la CCAT libérés

Le leader de la CCAT et quatre autres militants indépendantistes ont été remis en liberté après la décision de la cour d’appel de Paris,...

Maison cambriolée à Nouméa

Lors d’un week-end d’absence, un habitant du quartier de la Vallée-des-Colons, à Nouméa, a été victime d’un cambriolage : maison fouillée, baie vitrée fracturée...

Trafic d’alcool : une distillerie clandestine découverte par la police

Il produisait dans le plus grand secret du rhum et de la vodka destinés au marché noir. Après plusieurs semaines d’enquête, les policiers ont...

1 COMMENTAIRE

  1. Ben voyons, indépendantistes mais avec l’argent des contribuables français, tant qu’à faire. Faut arrêter tout çà : comme en France, il faut chercher l’argent là où il est : dans les subventions versées inutilement aux associations qui ne voient que leurs loisirs et leurs bien être (sportives, culturelles, festives et autres inutilités), dans la multitude de commissions, comités, etc. qui ne servent à rien (conseil coutumier, conseil économique et social et autres aberrations).