L’association a attaqué le Haut-commissariat en référé-liberté devant le tribunal administratif pour l’enjoindre de rétablir la circulation sur la RP1 qui traverse la tribu du Mont-Dore. L’État s’y est montré opposé.
Une nouvelle bataille judiciaire s’engage autour des « verrous » de Saint-Louis. Un mois après le rejet de la requête d’Eugène Decoiré, président du conseil des anciens, et de Yohan Wamytan, l’un des conseillers, c’est au tour de la Ligue des droits de l’homme (LDH) d’attaquer l’État en justice. D’après nos informations, l’association a déposé un référé-liberté devant le tribunal administratif de Nouvelle-Calédonie le 17 septembre dernier pour contraindre l’État à supprimer le dispositif des « verrous » de la gendarmerie au sud et au nord de Saint-Louis (Mont-Dore) et à rétablir la circulation pour les habitants de la tribu, du Mont-Dore Sud et de Yaté.
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Jean-Alexis Gallien-Lamarche