Le Comité central de l’Union progressiste en Mélanésie (UPM) s’est réuni samedi soir. Il y a été confirmé la position du parti à l’égard du dernier congrès du FLNKS.
Ça n’est ni un départ ni une rupture, mais une prise de position forte. Au sortir de ce congrès de Pagou qui a vu la nomination de Christian Tein comme président du Front et l’intégration au sein du FLNKS d’un certain nombre d’organismes dont la CCAT, le Palika et l’UPM avaient affirmé ne pas reconnaître la validité de ces réunions. C’est donc ce qu’a réaffirmé l’UPM, présidée par Victor Tutugoro, faisant référence notamment à sa « fidélité à la symbolique de la poignée de main du 26 juin 1988 ». Le parti réclame à nouveau « une clarification stratégique au sein du FLNKS pour parvenir à la souveraineté de notre pays ». L’UPM « ne se reconnaît pas dans les actions commises depuis le 13 mai qui sont responsables de l’effondrement socio-économique du pays ».
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Nicolas Vignoles