Le « rapport » qu’ont rendu public le Guatémaltèque Jose Francisco Cali Tzay, le Colombien Gina Romero, l’Indienne Ashwini K.P. et la Bangladeshie Irene Khan, ci-devant « experts de l’ONU », fait du bruit. C’est le moins qu’on puisse dire !
Loyalistes et Rassemblement avaient dénoncé la teneur de ce rapport, suivi par l’UC qui s’en félicitait. Cette fois, c’est le Haut-commissariat et l’ambassadrice de France dans le Pacifique qui réagissent. Le Haussariat rappelle tout d’abord que les quatre « agissent en leur propre nom dans le cadre des procédures spéciales du Conseil des droits de l’Homme des Nations Unies », ce qui sous-entend, comme nous le disions dans nos colonnes, que le rapport n’engage l’ONU en rien que ce soit. Et ce rapport, dit le Haut-commissariat, « contient des allégations graves qui sont factuellement inexactes et suscitent de nombreuses et sérieuses interrogations quant à leur fondement ».
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Nicolas Vignoles