L’hymne à l’amour ?

Dans sa presque quasi-unanimité, la presse nationale et internationale a salué la magnificence de la cérémonie d’ouverture de ces JO de Paris 2024. Et nous ici, avons salué la présence dans les tous derniers relayeurs de la flamme de Félicia Ballanger, une image du Caillou. Et puis oui, Céline Dion et l’Hymne à l’amour, ça a renversé des millions de cœur et déclenché discrètement des torrents de larmes. Les derniers instants du parcours de la flamme, avec ses athlètes se multipliant pour porter la torche jusqu’au doyen des champions olympiques (Charles Coste, 100 ans, médaillé d’or en cyclisme aux Jeux de Londres en 1948), était un instant émouvant et qui pouvait rendre fier le sport français. Mais tout était-il bien utile dans cette cérémonie ? Certains tableaux s’imposaient-ils et que signifiaient-ils ? Des voix se sont fait entendre pour dire, comme le philosophe Alain Finkielkraut, que « le génie français brillait par son absence », ou celle de Monseigneur Emmanuel Gobilliard, évêque de Digne et délégué de l’église catholique pour les Jeux olympiques et paralympiques, qui s’est dit « profondément blessé par la Cène ». Ce qui nous fait dire que la cérémonie d’ouverture ne restera pas dans toutes les mémoires.

Nicolas Vignoles

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