Le 17 juillet, une centaine d’associations ont interpellé le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie pour réclamer un fonds de solidarité de l’État, au même titre que les entreprises privées. À ce jour, cette demande est encore en attente.
« Nous vous adressons ce courrier en concertation avec les différentes organisations que nous représentons pour vous demander la mise en place d’aides d’urgences dédiées aux associations, dans le cadre du plan de solidarité lié à la crise que nous traversons actuellement » : environ cent associations ont signé un courrier à destination de Louis Mapou, président du gouvernement, et de Christopher Gygès, ministre en charge, entre autres, du suivi des zones franches et du dialogue social. Ces associations réclament « un fonds de solidarité dédié au monde associatif ».
Avant de faire part de leur demande, les associations soulignent qu’elles ne sont pas les seules touchées. « La situation que nous vivons n’épargne aucun acteur du territoire, particulièrement les représentants du secteur économique et du secteur public, dont le fonctionnement est grandement impacté. Conscients de la situation critique dans laquelle nous nous trouvons, nous sommes nous aussi particulièrement concernés par ces difficultés qui mettent en péril nos activités respectives. »
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Inès Figuigui