Difficile de ne pas le remarquer ces derniers jours, voire semaines : le mouvement indépendantiste se fait de plus en plus présent, voire pressant, sur les réseaux sociaux. Une stratégie assumée.
« L’avantage » avec les réseaux sociaux, « c’est que ça touche les jeunes », apprécie Rock Haocas (USTKE), « mais en même temps on n’a pas le contrôle. Donc on a une réflexion à travers tout ça, c’est pour ça qu’on leur demande », à ces jeunes, « de venir à la marche, comme ça ils ont les infos en direct sur le terrain ». Cet activisme numérique, « c’est aussi un message à l’international, ça permet aussi une solidarité » hors du Caillou. « Ça touche aussi les Français, sur la réalité locale. Il y a une certaine époque où les médias étaient la voix de la France », dit-il. Ce serait différent « avec les réseaux sociaux », même si « on n’a pas la maîtrise » et qu’« il y a aussi des fake news » et « des manipulations d’images, etc. ». Raison pour laquelle, insiste Rock Haocas, « il faut que les jeunes viennent sur nos mobilisations (…), à la source », pour « questionner » leurs connaissances sur le sujet.
Ce contenu est réservé aux abonnés.
Connectez vous pour y accéder !