Des spécialistes en muséologie d’une dizaine de pays et des trois provinces réunis en comité international ont refermé leurs travaux samedi à Maré.
La veille ils étaient à Koné, berceau du Lapita. En toile de fond, une réflexion d’envergure sur les musées et leur adaptation aux enjeux actuels.
Foué, une plage de Koné, devenue un lieu mythique pour l’archéologie avec la découverte de la poterie qui allait signer l’avènement de l’ère Lapita et redéfinir la datation historique globale. Depuis que les équipes de Christophe Sand l’ont sorti des sables, le lieu est devenu une sorte de tombeau sacré avec son classement en zone protégée et la cessation des fouilles. Pourtant, « il y reste encore beaucoup de mobilier », confie Emmanuel Tjibaou, le directeur du développement humain et des identités.
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