Jeudi après-midi, l’association Scal’Air, l’Agence française de développement et le Port autonome ont signé un partenariat afin de mesurer l’impact de l’activité portuaire sur la qualité de l’air.
Le Port autonome de Nouvelle-Calédonie est une place centrale alors qu’il est le deuxième port d’outre-mer en termes de volume commercial (après celui de La Réunion), mais aussi le deuxième port de croisière de France, après Marseille-Fos en 2017, avec 201 escales à Nouméa. Des mouvements qui ont forcément un impact. Dès lors le Port autonome a voulu obtenir des données chiffrées et vient de parapher un partenariat avec Scal’Air afin de mesurer l’impact de l’activité portuaire.
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