Interdit ce lundi de dire aux collègues du bureau que l’on s’est embêté ce week-end ! Ces 8 et 9 juillet proposaient un calendrier festif comme rarement on en a vu. Partout, associations, clubs ou organismes divers proposaient des manifestations : qui son salon, qui son marché, qui sa fête, qui son spectacle, qui son festival, qui sa compétition. Il y en avait pour tous les goûts et pour tout le monde. A tel point que l’on a pu se dire : trop c’est trop, car qui trop embrasse mal étreint. La conséquence de cette multiplication des manifestations est que certaines ont souffert de la concurrence et n’ont pas atteint les jauges de public qu’elles étaient en droit d’attendre. Comme il arrive donc parfois au cours de l’année, se pose la question des calendriers. Certes il est difficile de mettre en place des programmes cohérents sauf à en fâcher quelques-uns, mais quand même. Cela ne serait-il pas mieux pour les organisateurs comme pour les visiteurs que l’on s’y retrouve un peu ? L’organisation des programmes des manifestations pêche un peu. C’est dommage !