Mercredi, Scal’Air présentait son rapport d’activité 2022. Il y était question de la pollution atmosphérique à Nouméa mais pas seulement. L’association a en effet récupéré la surveillance de la qualité de l’air autour de l’usine de nickel du Nord. Elle prévoit également de publier un inventaire des émissions polluantes du territoire. Et milite pour la réalisation d’études sur les effets sanitaires du nickel.
La surveillance de KNS sera pleinement opérationnelle en 2024. Créée en 2004, Scal’Air a d’abord développé un réseau de surveillance à Nouméa puis dans le Grand Sud, autour des usines de la SLN et de Prony. En mai 2022, l’association est devenue le seul opérateur de contrôle de la qualité de l’air agréé du territoire. Elle a donc récupéré la gestion des trois stations situées aux alentours de l’usine de nickel du Nord. Commence “un gros travail de mise aux normes et de renouvellement de certains appareils”, a indiqué Nina Julié, présidente de l’association, mercredi. Le système devrait être pleinement opérationnel en 2024. D’ici là, quelques relevés seront tout de même effectués.
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