Après la visite de trois ministres, et pas des moindres, la Nouvelle-Calédonie reprend son souffle. Quel tourbillon ! On en est encore tout secoué. Même si concrètement, on peut avoir l’impression qu’il n’en ai rien sorti, l’impression est trompeuse. D’abord, l’État considère que la Nouvelle-Calédonie demeure une priorité. Et une priorité française. C’est aussi ce qu’ont considéré tous les ministres de la Défense de la zone qui viennent de passer quatre jours à Nouméa et avec certains desquels, des partenariats ont été noués ou renouvelés. Ensuite, certaines choses ont été réaffirmé comme la nécessité, impérieuse, de sauver le nickel calédonien et la SLN en premier lieu. Ou la nécessité d’un accord, que certains ne voudraient pas voir être passé, mais qui, malgré moults difficultés, parait comme la solution la plus raisonnable. Ou bien que, la Nouvelle-Calédonie a choisi de demeurer française, et ce par trois fois. Il y a parfois des choses qui sont bonnes à redire. Maintenant, il faut que les choses avancent, et on a une petite idée, accrochés que nous sommes à l’avis du Conseil d’État qui éclaircira peut-être ces fameuses choses.