Après sa visite en Nouvelle-Calédonie, Marine Le Pen a développé dans un document de 16 pages son programme économique et institutionnel pour la Nouvelle-Calédonie. Sans surprise, il se clôture sur un projet de référendum après une période ouverte de quarante ans.
Une pause institutionnelle ancrée sur une « extension pour une durée de quarante années – jusqu’en 2065, du cadre institué par l’accord de Nouméa », avant l’organisation d’un quatrième référendum : c’est la proposition institutionnelle de Marine Le Pen, comme l’avait formulée la présidente du groupe Rassemblement national à l’Assemblée, lors de sa visite chahutée en Nouvelle-Calédonie. Lors de ce déplacement, à la fin du mois de mai, c’est en effet souvent sous des huées et autres camouflets loyalistes, que Marine Le Pen a exposé sa vision de l’avenir du territoire. Une vision qu’elle souhaite détacher de la seule réforme institutionnelle, un sujet qui, pour elle, divise les Calédoniens.
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Isabelle Peltier