Entre réajustement des kits, baisse des coûts et simplification des impressions, la province Sud adapte son dispositif pour alléger les dépenses des familles tout en maintenant l’obligation des tenues scolaires.
La rentrée 2024 a été pleine de rebondissements pour le dispositif des tenues communes. D’abord une défaillance avec l’ancien prestataire avant que le stock ne soit entièrement incendié, au début des émeutes, dix jours seulement après le début de la distribution. « La difficulté a été de décider vite, de relancer l’opération », a affirmé Gil Brial lors de la visite des locaux d’IPC. Un vrai challenge pour la société. « Le 14 mai, tout s’est arrêté. Mais, la province Sud nous a fait confiance », atteste le directeur d’IPC, Christophe Constantini. Et comme les délais d’approvisionnement sont « au minimum de six mois », puis qu’ensuite il y a ceux de l’impression, il fallait « faire vite ». « On a fait 122 000 pièces en trois semaines, affirme le directeur général. En moyenne, il faut compter 12 000 à 14 000 commandes dans l’année. Ce qui représente environ 100 000 pièces vendues ».
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Lucile Chaurand