Report des provinciales et pas de vote sur le dégel

Comme c’était annoncé et attendu : le Premier ministre, Michel Barnier, a consacré quelques lignes de son discours de politique générale à la Nouvelle-Calédonie, dans la nuit de mardi à mercredi. Il n’est pas certain que ce discours ait été apprécié par tout le monde.

Un discours, à Paris, d’une heure et trente minutes, constamment perturbé par les cris et vociférations des députés de la France Insoumise, au cours duquel donc le nouveau chef du gouvernement a évoqué la situation calédonienne. « Depuis maintenant quatre mois et demi, ce territoire connaît une crise d’une gravité exceptionnelle », a-t-il tout d’abord déclaré. Relancer le dialogue.

Relancer le dialogue

« J’ai conscience des souffrances et de l’angoisse que ressentent les habitants de Nouvelle-Calédonie et je veux leur redire que l’État et mon gouvernement seront à leurs côtés. Je veux saluer aussi toutes celles et tous ceux qui s’engagent pour l’apaisement, en premier lieu nos forces de l’ordre, les fonctionnaires de l’État, mais aussi les responsables politiques et syndicaux, les acteurs de la société civile, qu’ils soient du monde économique, religieux ou coutumier. »

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Nicolas Vignoles

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