Dans Mémoire de santé calédonienne, Philippe Palombo, historien et cadre de la réserve sanitaire, explore les racines de la santé calédonienne, depuis l’arrivée des premiers médecins militaires en 1853 jusqu’à l’émancipation du système de santé publique en 1983.
« Cet ouvrage est une manière de rendre hommage, à titre personnel et en tant que Calédonien, au service de santé des Armées en Nouvelle-Calédonie. J’ai voulu montrer comment ces militaires, médecins et pharmaciens, ont été à la base de notre système de santé publique », explique Philippe Palombo, ancien directeur du centre hospitalier spécialisé Albert-Bousquet à Nouméa, à la retraite après plus de quarante-deux ans de service. Durant 130 ans, de 1853 à 1983, ces professionnels ont œuvré au sein de la médecine navale puis du service de santé des armées, dans l’intérêt des Calédoniens. « De tout temps, soigner, guérir, prévenir des épidémies ont été leurs préoccupations majeures ».
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Béryl Ziegler