Le gouvernement français, toujours mené par Gabriel Attal, gère désormais « les affaires courantes », pour une durée indéterminée. Juste avant la démission de ce gouvernement, l’État a décidé d’un nouveau soutien à la Nouvelle-Calédonie.
Il en avait encore été question mardi dernier lors de la séance du Congrès, la situation de la Nouvelle-Calédonie était jugée, non plus catastrophique, mais tragique. De tous les bancs, y compris ceux des indépendantistes, il était donc réclamé un soutien plus affirmé de l’État pour permettre ne serait-ce que de passer les prochaines semaines. Et qu’il s’agisse des élus politiques comme du monde économique, tous de dire que l’aide actuelle était notoirement insuffisante. Mardi soir, Marie Guévenoux, ministre déléguée aux Outre-mer, le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie, la province Sud et les acteurs économiques ont tenu une réunion par visioconférence avec le ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire.
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Nicolas Vignoles