Le SGTINC-CGC, syndicat numéro 1 dans le nickel, exige de participer aux échanges en cours sur l’avenir de la filière. Sinon, des mesures fortes seront prises, assurent ses représentants.
Bureau élargi le matin, point d’alerte avec la presse l’après-midi : la journée d’hier a été chargée pour le SGTINC-CGC. Ce vendredi pourrait être encore plus dense : une assemblée générale, avec des représentants de tout le territoire, est prévue de 8 h à 12 h à Nouméa, non loin de la SLN. Ensuite ? Les syndicalistes laissent planer le suspense. Des échanges vont avoir lieu, puis des décisions fortes seront prises, explique-t-on. Au sein du syndicat, on affiche son mécontentement d’être écartés des réflexions. « On n’accepte plus de ne pas être associés aux discussions », résume Glen Delathière, délégué syndical, et ce alors que l’« on est les premiers acteurs, on connaît nos métiers ».
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