Le Sommet sur la Nouvelle-Calédonie s’est ouvert à l’Elysée, sous la présidence d’Emmanuel Macron. Une nouvelle séquence politique que d’aucuns présentent comme décisive.
Le rendez-vous attendu de l’Elysée a débuté par une cérémonie de coutume présentée par le Sénat coutumier. C’est l’ancien Haut-commissaire en Nouvelle-Calédonie, Patrice Faure, actuel directeur de cabinet du président de la République, qui a pris la parole au nom d’Emmanuel Macron, après avoir déposé un stylo devant les sénateurs coutumier, « un stylo, a-t-il dit, celui avec lequel on espère que nous signerons au moins un compromis, si ce n’est un accord ». Le ton était donné.
Le ban et l’arrière ban
Pour l’ouverture de ce sommet sur la Nouvelle-Calédonie, les plus hautes autorités de l’Etat étaient présentes autour du président de la République, ainsi le Premier ministre François Bayrou, le ministre des Outre-mer Manuel Valls, la présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet et du Sénat Gérard Larcher, pour marquer que ce sommet se déroulait bien sous le regard de l’Etat, de la France.
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N.V.