L’organisation d’un « congrès des dernières colonies françaises », en marge du congrès du FLNKS à Saint-Louis, a largement fait réagir. Il est demandé à l’Etat de sortir de son silence.
Un congrès du « Front international de décolonisation » qui s’est ouvert par une intervention vidéo d’Abbas Abbassov, directeur exécutif du Groupe d’initiative de Bakou. « La liberté n’est pas facile à obtenir et exige des sacrifices », dit-il en préambule de son message. Il le conclut ainsi : « Nous devons continuer à rester unis, non seulement dans notre lutte commune pour la justice et l’égalité, mais aussi dans notre engagement indéfectible en faveur de la reconnaissance de la dignité inhérente au peuple kanak. Que cela soit un appel à l’action pour chacun d’entre nous, une invitation à poursuivre la lutte pour un monde libéré de la domination coloniale où tous les peuples ont le pouvoir de déterminer leur propre avenir. »
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N.V.