Après la triple crise qu’a connu le territoire en quatre ans, les loueurs de l’Anse-Vata peinent à garder la tête hors de l’eau.
Malgré la crise Covid, qui a mondialement impacté les commerces et les activités touristiques, « la plus grosse des crises qu’on a vécu, ça restera la crise requin, témoigne Matthieu Bladette, le gérant d’Aloha. Elle nous a impactés parce qu’elle est restée dans la tête des gens. De l’adulte à l’enfant, plus personne ne voulait venir à l’eau. Et les slogans de la mairie ‘’baignade à vos risques et périls’’ n’ont pas aidé. Mais, depuis toujours, il y a un risque quand on se baigne ». Et le concurrent, Laurent Gauzere, gérant de Sp8ce, d’ajouter : « Cela a créé une vraie psychose […] même pour les militaires qui sont là maintenant, c’est un frein pour y aller. » Les deux loueurs estiment à 70% de perte d’activité depuis cette crise, qui en a connu de nouvelles plus récemment.
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Lucile Chaurand