Les ressortissants français, encore choqués du tremblement de terre de mardi, sont soulagés d’avoir pu enfin revenir en Calédonie.
Ca aura été une épreuve sans nom pour les Français venus passés quelques jours de vacances sur le sol vanuatais et ayant vécu le plus gros séisme de l’histoire du pays. Géraldine, venue en famille, se promenait sur le marché au moment du séisme. « On se serait cru sur une plaque qui roule, on s’est cassés la figure, on était tous par terre, on ne savait plus quoi faire, raconte-t-elle sans retenir ses larmes. La moindre petite secousse c’est une plaie […] c’est vraiment difficile à vivre. Je n’imagine même pas les gens qui étaient en ville, qui l’ont subi et qui sont morts ». Une idée qui la hante depuis ce jour.
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Lucile Chaurand