Si l’on s’en tient au communiqué interne diffusé par KNS à ses équipes et signé du président, Neil Meadow, c’est ce 1er février que se réunit le board de KNS pour décider de la suite.
Et on le sait maintenant, parmi toutes les hypothèses envisagées, il y a la mise en sommeil de l’usine du Nord. La situation des métallurgistes se contracte encore et c’est dans ce contexte que le gouvernement a mis en place une « cellule de suivi et d’accompagnement des entreprises et des salariés impactés par les difficultés dans la filière nickel ». Le gouvernement rappelle que « la production indonésienne inonde le marché à un rythme plus rapide que la demande, faisant chuter les cours du nickel. Une situation qui met en difficulté l’ensemble des producteurs dans le monde ». Soulignant l’investissement de l’État au travers notamment d’une mission d’experts, avec laquelle les discussions se poursuivent, le gouvernement met en avant la forte dégradation de la situation.
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