Le Bordelais de naissance, qui s’est développé en Calédonie avant de s’installer aux Etats-Unis, était hier sur les greens du Waialae Country Club, à Honolulu, pour le premier jour de sa saison sur le circuit élite américain.
Jeune papa, depuis l’an passé, d’une petite Camille née au Texas, Paul Barjon est un jeune homme (31 ans) comblé. Cet enfant, « ça a changé un peu la donne, mais dans le positif », avec un peu plus « d’organisation à prévoir : ça m’oblige à être un peu plus efficace dans les entraînements, à mieux les programmer, pour passer le plus de temps possible avec ma femme et ma fille », confiait-il récemment auprès de la Fédération française de golf. Dans cet entretien au long cours, l’ancien joueur de Dumbéa revient, notamment, sur sa saison dernière : un « départ assez lent », avant un sprint final de toute beauté puisqu’il a remporté, début octobre, le dernier tournoi de l’année sur le Korn Ferry Tour (2e division), lui permettant de faire un grand bond au classement, à tel point qu’il a gagné le droit d’évoluer, en 2024, sur le PGA Tour (l’élite américaine), circuit qu’il avait connu en 2021-2022 avant d’être rétrogradé par manque de résultats.
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