Parce qu’elles le valent bien

Elsa Granier à 42 ans, esthéticienne depuis plus de 20 ans, s’est lancée depuis quelques années dans une « nouvelle » activité. Elsa est socio-esthéticienne. Une esthéticienne qui s’occupe de personnes en difficulté ou qui sont fragilisées par la maladie, la dépression, l’isolement ou l’âge.

« J’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé », cette phrase de Voltaire encadrée dans un tableau, vous saute aux yeux quand vous entrez dans l’institut d’Elsa au Faubourg Blanchot. Une phrase qui ne vous laisse pas indifférent dans cet institut de soin un peu particulier. « J’ai toujours été attiré par tout ce qui touche au social, j’ai beaucoup travaillé avec des jeunes en réinsertion en organisant des ateliers d’image et d’estime de soi, explique Elsa, ça m’a énormément plus et j’ai pris conscience que j’aimais aider les personnes à reprendre confiance en elles. J’ai donc allié mon métier à cette appétence pour le social et je me suis donc formée au métier de socio-esthéticienne ». La socio-esthétique est encore aujourd’hui méconnue du grand public et pourtant est reconnue comme un vrai soutien dans le traitement de certaines maladies comme le cancer.

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