Sans surprise, l’Union nationale pour l’indépendance dit vouloir poursuivre le dialogue, et s’inscrire dans la voie de la « souveraineté avec la France », étape transitoire avant l’indépendance.
Lors d’un point presse organisé dans les anciens locaux du « oui », au centre ville, l’UNI a, en propos liminaire, « regretté » que le conclave de Deva n’ait pas abouti à un accord. L’Union nationale pour l’indépendance affirme qu’il faut « aller de l’avant », mais convient qu’il n’est « pas facile de trouver une solution politique qui réconcilie deux visions d’avenir à l’opposé l’une de l’autre ».
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Isabelle Peltier