Parmi la délégation du FLNKS qui va se rendre à Paris pour participer aux discussions sur l’avenir de l’archipel, au moins deux membres ont eu des liens avec le régime de Bakou.
Cela interpelle, car l’Azerbaïdjan, voilà un pays dont le ministre français des Outre-mer, Manuel Valls, a récemment condamné les ingérences dans les territoires ultramarins, et plus particulièrement en Nouvelle-Calédonie. Retrouver ces individus à la table des négociations ne pourrait-il pas être interprété comme une forme de provocation ?
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A.F.