Aide médicale : la province Sud pourrait être confortée par le tribunal administratif

Après les émeutes, l’assemblée de province Sud avait modifié les règles de l’aide médicale gratuite. Sous l’impulsion du parti MNIS, trente-trois bénéficiaires ont réclamé l’annulation de cette réforme devant la justice.

Les juges pourraient donner raison à la province Sud pour la seconde fois. Sous l’impulsion du parti politique indépendantiste MNIS (Mouvement nationaliste, indépendantiste et souverainiste), trente-trois personnes ont contesté devant le tribunal administratif la réforme de l’aide médicale gratuite qui serait une « entorse » à la Constitution française.

Ce contenu est réservé aux abonnés.

Connectez vous pour y accéder !

Jean-Alexis Gallien-Lamarche

Fil d'actualité

Une conductrice interpellée pour transport scolaire clandestin à Nouméa

Elle n'avait jamais déclaré son activité. Une opération de...

Eramet sur le départ ?

Le groupe tricolore pourrait-il se retirer du capital de...

Il force un barrage et manque de tuer un gendarme

Lundi dernier, en plein après-midi, une course-poursuite à partir...

Étudier avec sérénité

Une « opération de sécurisation renforcée » était organisée...

Nature protégée

Les gendarmes surveillent sur terre, dans les airs mais...

Newsletter

Inscrivez vous pour recevoir chaque semaine notre newsletter dans votre boîte de réception.

Une conductrice interpellée pour transport scolaire clandestin à Nouméa

Elle n'avait jamais déclaré son activité. Une opération de contrôle routier a porté ses fruits, permettant de déceler un transport scolaire illégal en pleine...

Eramet sur le départ ?

Le groupe tricolore pourrait-il se retirer du capital de sa filiale calédonienne, comme évoqué à Paris par Manuel Valls ? La SLN se refuse...

Il force un barrage et manque de tuer un gendarme

Lundi dernier, en plein après-midi, une course-poursuite à partir de Koumac, en direction de Kaala-Gomen, entre un fuyard au volant d’une voiture volée et...

1 COMMENTAIRE

  1. Ben voyons, indépendantistes mais avec l’argent des contribuables français, tant qu’à faire. Faut arrêter tout çà : comme en France, il faut chercher l’argent là où il est : dans les subventions versées inutilement aux associations qui ne voient que leurs loisirs et leurs bien être (sportives, culturelles, festives et autres inutilités), dans la multitude de commissions, comités, etc. qui ne servent à rien (conseil coutumier, conseil économique et social et autres aberrations).