Depuis mardi après-midi, 120 hectares ont brûlé à Dumbéa. Parmi les zones touchées : le Pic aux Chèvres, la plaine Adam, la rue du Colporteur et le quartier de Pointe à la Dorade. Ces feux seraient causés par des écobuages non maîtrisés mais aussi des actes criminels.
Le propriétaire de la maison incendiée mercredi après-midi, quartier de Pointe à la Daurade, très ému, décrit avec douleur ce qu’il découvre le lendemain. « Le constat fait un peu mal au ventre ce matin. Ça fait quinze ans qu’on est dans cette maison, avec nos trois enfants, ma femme, mon chien, mes deux chats. » Quelques heures ont suffi pour réduire à néant leurs années de vie dans ce logement familial. « La maison est brûlée, il va falloir prendre les dispositions adéquates et puis essayer de rebondir dans cette période un peu dure. » Ce jeudi matin, lui et sa femme étaient accompagnés par un pompier, qui faisait le constat des dégâts et évaluait les éventuels dangers encore présents.
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Claire Rio-Pennuen