Après l’analyse par l’UFC-Que Choisir de la demande de prolongation de protection de marché sur le chocolat par l’entreprise Biscochoc, la FINC a souhaité y répondre et proposer sa propre analyse. Comme on pouvait s’y attendre, la question de ces protections de marché continue de faire débat.
Dans son rapport, publié sur son site, l’association UFC-Que Choisir développe ses arguments pour expliquer l’avis défavorable qu’elle rend au sujet de cette demande. C’est ce qui a motivé la réponse de la Fédération des Industries de Nouvelle-Calédonie, dans une note envoyée à l’UFC et transmise à ses adhérents. « Seule la Nouvelle-Calédonie a la chance de bénéficier d’une industrie de transformation, rappelle la FINC,parce que depuis les années 80, elle protège son marché intérieur. Tous les autres départements et territoires d’Outre-mer français, comme les petits pays et territoires du Pacifique sont dépendants de l’importation qui tient le marché et la consommation, empêchant tout projet industriel de se développer, avec pour conséquence le chômage et la pauvreté économique, pour ceux qui n’ont pas l’appui de la France et de l’Europe ».
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