A la crise économique et sociale née des émeutes CCAT du 13 mai, voilà que pourrait s’ajouter une crise politique. Si le gouvernement Mapou est tombé, le Congrès est lui aussi en crise. En témoigne ce qui s’est passé hier durant la séance consacrée au vote de la TGC qui a tourné court.
Sans doute comme mesure de rétorsion à la décision de Calédonie Ensemble de faire tomber le gouvernement Mapou par la démission de Jérémie Katidjo-Monnier et de ses suivants de liste, l’UNI-Palika suivie en cela par l’Union Calédonienne, a annoncé vouloir quitter la séance du Congrès d’hier et ne plus assister à aucune séance jusqu’à la formation d’un nouveau gouvernement. Sauf que cette attitude politique a des conséquences économiques immédiates. Cette décision a donc provoqué hier une très longue suspension de séance et de très nombreux et très denses conciliabules.
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Béryl Ziegler